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Un (petit) monde perdu...

Un (petit) monde perdu...

Quand je louche sur le silence, je dessine des mots sur le vent, ça fait naitre des murmures aux ailes des oiseaux...


Dans les autres rêves

Publié par ZL sur 1 Avril 2017, 21:33pm

Catégories : #De rêves et d'autres

Dans les autres rêves

C'est comme le soleil qui tourne
Qui roule pris dans un sommeil
Et qui nous rêve de lumière
Mais sous le charme nous a brisé
Et si c'est Dieu, c'est la misère
C'est la souffrance et c'est la guerre
Et c'est le sang et les orgies
Et le silence pesant des messes

 

Les églises aux clochers sont pendues
Comme des lourds oiseaux de pierre
Et sous le ciel qui s'est fendu
Sous le poids des nuages
J'entends l'écho
Des coeurs plombés

Je mutile les heures en pensant le néant
Tombé du bord d'un absolu glissant
Et le soleil en tournant qui s'enlise
Sans pour autant cesser de reluire

L'endurance est clé du mouvement
Et son ordonnance chaotique
S'adonne parfois, fantasmatique
Aux transes des humanistes
Et si c'est dieu
Je suis l'enfer
Qui se retourne, presque surpris
Sur son corps triste et mutilé

Mais je rêve sans sommeil
De l'océan qui se recule
Pour ne plus balayer les plages
Et sous un ciel caniculaire
La brise légère
Venue des vagues

Chante l'aurore des mélopées
En douces strophes aquarelles
Pour mélanger à l'océan
Un regain d'arc-en-ciel
La brume tremblante de couleurs
Sous les étoiles justicières

Si c'est le diable, c'est l'ère glacière
Et la dérive des ours polaires
La flamme serait métaphysique
Rageuse, sournoise et volontaire

(écriture automatique)



 

C'est comme le soleil qui tourne
Qui roule pris dans un sommeil
Et qui nous rêve de lumière
Mais sous le charme nous a brisé
Et si c'est Dieu, c'est la misère
C'est la souffrance et c'est la guerre
Et c'est le sang et les orgies
Et le silence pesant des messes
 

Les églises aux clochers sont pendues
Comme des lourds oiseaux de pierre
Et sous le ciel qui s'est fendu
Sous le poids des nuages
J'entends l'écho
Des coeurs plombés

Je mutile les heures en pensant le néant
Tombé du bord d'un absolu glissant
Et le soleil en tournant qui s'enlise
Sans pour autant cesser de reluire

L'endurance est clé du mouvement
Et son ordonnance chaotique
S'adonne parfois, fantasmatique
Aux transes des humanistes
Et si c'est dieu
Je suis l'enfer
Qui se retourne, presque surpris
Sur son corps triste et mutilé

Mais je rêve sans sommeil
De l'océan qui se recule
Pour ne plus balayer les plages
Et sous un ciel caniculaire
La brise légère
Venue des vagues

Chante l'aurore des mélopées
En douces strophes aquarelles
Pour mélanger à l'océan
Un regain d'arc-en-ciel
La brume tremblante de couleurs
Sous les étoiles justicières

Si c'est le diable, c'est l'ère glacière
Et la dérive des ours polaires
La flamme serait métaphysique
Rageuse, sournoise et volontaire

(écriture automatique)



 

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